![]() |
photo de Maxime Du Camp |
parler !” (...) Enraciné aux rochers de la chaîne libyque dans lesquels on l'a taillé en abaissant les terrains voisins de toute sa hauteur propre, il disparaît chaque jour sous les sables envahissants ; sa croupe, son dos, ses pattes en sont couverts ; devant lui, à son ombre, les Bédouins viennent souvent s'étendre, et les vautours fatigués se reposent sur sa tête.”
(extrait de “Le Nil : Égypte et Nubie”, 1860)